dimanche 1 avril 2007

Le tour du net des poissons d'avril

Une mise à jour, un dimanche ? C'est forcément un canular !

En cette matinée de premier avril, je me propose de vous donner un aperçu des poissons d'avril concoctés sur internet.


Actualité belge (Le Soir) : le prince Laurent trouve un vrai métier.


NASA : Les Américains gagnent face aux Russes la très convoitée coupe de Quidditch... de l'espace !
Deux ans auparavant, le même site avait prouvé l'existence d'eau sur Mars.

Seul Bronchax peut nous sauver !


Google : deux canulars pour le prix d'un, cette année :

Gmail Paper, une nouvelle fonctionnalité qui vous permet de faire imprimer et envoyer par la poste vos e-mails gratuitement (les frais d'impression et de port sont compensés par les très discrètes publicités imprimées au verso des feuilles).

Google TiSP vous propose de vous connecter à internet via vos toilettes ou, plus spécifiquement, via un cable savamment placé dedans pour se connecter à un réseau caché dans les égoûts.

Google est connu pour ses nombreux canulars du même style... au point que, à l'annonce du lancement de Gmail, le 31 mai 2004, beaucoup ont cru à une plaisanterie.


Tous les poissons d'avril ne sont cependant pas aussi innocents. Ce qui commence comme une simple plaisanterie peut parfois prendre de l'ampleur et avoir des conséquences désastreuses.

Orson Welles : l'homme qui a fait croire à l'Amérique que les extraterrestres avaient débarqué. (1938)



Médias asiatiques (2003) : tout a commencé par un petit malin d'une télé coréenne locale qui a cru bon de prétendre que Bill Gates avait été assassiné. Puis les médias nationaux se sont emparés, et l'économie en a pâti.

La même année, à Hong Kong, un étudiant a cru bon de faire croire que la ville allait être mise en quarantaine à cause de l'épidémie de SRAS. Résultat : un mouvement de panique générale.


Paul Binocle : a copié-collé une série de lien les uns à la suite des autres et a essayé de faire passer ça pour une mise à jour valable. Bien essayé, Paul !

Voilà ce que j'en pense.